Après avoir reussi à franchir le siphon de l'entrée naturelle suite à une première tentative qui a failli couter la vie un spéléologue.
D'un jet, c'est la découverte de 200m de galerie avant d'êtres de nouveau bloqués par un autre siphon, le siphon Scello.
Dans ce réseau nous repérons deux puits remontant et faisons la topographie sous terre de la partie découverte. Choisissant le puit qui était le plus près de la route et
reportant à l'extérieur cette topographie pour essayer de localiser celui-ci en espérant par la suite d'arriver à faire la jonction.
Après les 7m du puit que l'on a creusé, les 3m de la partie horizontale correspondant ainsi à l'erreur de topographie.
Dans l'année 1967 étant étudiant ces travaux ont été réalisés avec des moyens de fortune, barre à mine, marteau, burin, trépied en bois sur lequel on accrochait une corde pour remonter les seaux remplis de pierres et gravas. Plus tard avec l'aide d'un marteau électrique et au compresseur.
Cimentation des parois au fur et à mesure de la descente des 7m pour éviter l'effondrement de celles-ci, profitant d'une journée de pluie pour préparer le ciment en bordure de route et le transporter avec des seaux...